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La vérité est ailleurs...

Journaliste, internautes, réseaux sociaux : tous consultent, commentent ou partagent des fake news. Nous sommes tous responsables.

Les lanceurs de fake news sont les premiers concernés. Un exemple attire l’attention : Donald Trump, le 45ème Président des Etats Unis d’Amérique accusé à de nombreuses reprise de relayes des fake news et même d’en diffuser par le biais de son compte twitter. Son copte est une véritable arme, 48Million d’abonnés dans le monde qui voient apparaitre dans leur fil twitter les tweets du Président. Une situation paradoxale quand on sait que les fake news aurait permis à Donald d’emporter une élection ingagnable. Un personnage clé quand on parle fake news ! Sa conseillère Kellyanne Conway ira jusqu’à utiliser une expression le 22 janvier 2017 pour décrire les propos du port parole de la Maison Blanche, Sean Spicer : l’expression Faits Alternatifs. Ce dernier était accusé par un journaliste de NBC news de mentir quant à l’importance de la participation de la population à l’investiture, la veille, du président américain. Depuis, cette expression est utilisée pour évoquer de grossiers mensonges. Autour de Donald Trump et son rapport aux fake news, une sorte d’écosystème s’est créé.

Les créateurs de ces fakes news. Les journalistes ont aussi une part de responsabilité. Notamment dans le trop plein d’information. La très grande quantité d’informations auxquelles nous sommes soumis nuit à notre faculté de discernement.

« Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures » disait Mark Twain, écrivain, essayiste américain.

Et le plus drôle, c’est que Marc Twain n’a jamais prononcer ou écrit cet aphorisme. L’ironie de la situation lui aurait sans doute beaucoup plu. Aujourd’hui, la moitié des Américains se tourne vers les réseaux sociaux pour s’informer. La plupart d’entre nous sommes régulièrement confrontés à de fausses informations. La NASA est par exemple en contact avec des extraterrestres ou un couple ne se nourrit plus quand respirant les aliments. De tels articles mensongers sont mélangés à de vraies informations dans notre fil personnel et comme le cycle des actualités ne cesse de s’accélérer, il est de plus en plus difficile de démêler le vrai du faux.

Une nouvelle étude a réussi à démontrer ce phénomène. Des modèles mathématiques établissent comment une surcharge d’information peut éroder la capacité d’un individu à faire la différence entre une information de qualité est un bidonnage, et ainsi contribuer à la propagation de contrevérités. Pourtant, avec un peu d’effort, les lecteurs et les réseaux sociaux pourrait réduire cet excédent d’information, ce qui permettrait d’affiner notre faculté de discernement. Au quotidien explique Daniel Levitin professeur en psychologie en neurosciences comportemental à l’université McGill de Montréal « être constamment assez d’informations nous empêche de prendre des décisions de bon sens à nos risques et périls »
La désinformation est vieille comme le monde est le phénomène expliqué dans cette étude montre que sa multiplication n’est pas limité à ce type de réseau social, Internet n’a fait que décuplé la tendance des êtres humains se comporter ainsi à l’égard des informations des faits.

Le medias sont mis en cause également pour leur devoir de neutralité notamment dans la campagne du Brexit.

Dominique Cumming est passé à la postérité comme le magicien de la fake News. À Westminster, le quartier historique de Londres où siège le parlement, cet ancien de l’université d’Oxford est aussi réputé pour son impolitesse, son arrogance et son mépris total des déforme. 350 millions de livres par semaine en plus en faveur du service national de santé NHS grâce à la fin de la contribution britannique aux caisses de l’Union Europeene : le slogan inventé par Cummings a été apposée sur toute la longueur de l’autobus de campagne des Brexiteers qui a sillonnée le pays profond pendant plusieurs mois.

Tenu à la neutralité, la BBC et ITV News pas contester le montant défendu par Cumming. Les journaux europhiles se concentre sur d’autres volet plus sexy du Brexit : L’immigration par exemple pour le Guardian  L’argument NHS est en revanche est propulsé avec force détails et à la une de tabloïd.

Face à cette fake news, les medias n’auraient il pas du sortir de leur devoir de réserve pour éviter la diffusion ?

Car les médias sont concernés par la diffusion ou la contre attaque de fake news mais aussi les utilisateurs comme vous et moi.

Il est donc important de ne pas diffuser d'information si la source n'est pas fiable ou douteuse. Car si le danger et d’être décrédibilisé il le danger est aussi concernant la démocratie. On l'a vu precedament pour le Brexit ou pour l’élection de Donald Trump, les fake news ont un pouvoir immece, dont les enjeux sont parfois mal conciderer.

L'autobus qui a baladé les électeurs britanniques
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